[RP CLOTURÉ] Tell Me [Ft L]

Tell Me...

Passion & L

Les murs autour de moi tournaient me donnant la nausée, pourtant la musique qui était crachée par les enceintes guidait mon corps et celui-ci malgré mon envie de partir vider mon estomac de son contenu suivait le rythme. L'alcool que j'avais ingurgité plus tôt m'avait fait perdre tout repère tant j'en avais consommé. Dire que je n'étais plus maître de rien n'était pas tout à fait faux, mais pas tout à fait vrai non plus. L'alcool ne fait qu'enlever toute inhibition et n'est qu'une excuse pour les gens qui font n'importe quoi un peu comme moi actuellement. Je dansais avec différentes et elles avec moi ou plutôt contre moi, des petits sourires échangés ce soir, je veux m'amuser... Ce soir, je veux juste oublier...

Cela ne faisait que quelques jours que L avait mit un point final à ce que nous faisions. Les mots qu'il avait dits après que nous venions de nouveau coucher ensemble ne voulais pas sortir de ma tête. Moi qui pensais qu'il y avait un petit quelque chose en plus entre nous, je m'étais lourdement trompé. Je n'étais qu'une des nombreuses putes qu'il sautait quand il en avait besoin et je dois dire que j'étais assez ébranlé par cela. Mais ce qui me dérangeait le plus c'est qu'il m'avoua alors qu'il venait de me “baiser” pour reprendre ses mots, qu'il avait rencontré quelqu'un, une personne avec qui il souhaitait aller plus loin. Sous la surprise, je n'avais rien dit, j'étais resté dans un mutisme alors qu'il me disait de ne plus m'approcher de lui. Cette nouvelle de l'existence d'une fille avec qui il voulait s'investir me dérangeait, je ne devrais pas, car après tout, j'étais avec Dark, mais la pensée de L avec une autre m'était insupportable et c'est pourquoi j'avais décidé de boire pour m'aider à arrêter de penser à cela..

La soirée était déjà bien avancer et malgré mon état, je n'avais pas bougé, j'avais repoussé tout les hommes qui m'avaient fait des avances, moi qui pensais que jouer avec les hommes et femmes comme à mon habitude me ferais du bien, c'est tout le contraire et finalement, je me suis posé au bar et j'ai continué à boire et je suis vraiment dans un état plus que lamentable. L'alcool a totalement détruit ma lucidité et le peu qu'il me reste, m'aide, a mouvez mon corps au rythme de la musique, des corps se colle au mien bouge au même rythme que le mien, je me dis que peut être ma soirée se finira avec l'un de, ces types, cela me faisait rire qu'est-ce que j'était pathétique tout ça parce que son souvenir m'est revenu en pleine face aujourd'hui... Un autre type se colla a moi faisant partir les autres avec qui je dansais plus tôt pour n'être que le seul, son corps bougeant contre le mien de façon à me faire comprendre ses intentions, je n'essayais pas plus que cela d'échapper à ses mains baladeuses et il l'avait bien remarqué, mais il commençait à être trop entreprenant... Je l'ai à peine repoussé qu'il était de nouveau contre moi, j'allais même chancelante lui faire comprendre ma façon de penser, mais je me suis fait happer par une paire de bras que je n'ai pas le temps de voir, car ma vue devient foule et je n'ai pas le temps de dire ou faire quoi que ce soit que je sombre dans les abysses les plus noir.

Un mal de tête violent à raison de mon sommeil, quand je daigne enfin ouvrir les yeux la lumière m'agresse d'abord ce qui m'empêche de réaliser que je ne suis pas dans ma chambre. Je me redresse et remarque enfin où je me trouve : la chambre de Dark. Un soupire sort d'entre mes lèvres, comment avais-je atterrie ici ? Les dernières choses dont je me souviens, c'est être allé au bar pour m'amuser et ? Et quoi ? Le trou noir.. Mon regard est attiré par une marque sur mon poignet, Dark avait du un peu trop le serré pour me ramener, je m'examine un instant et ne distingue aucune autre marque, sûrement avait-il juste trop serrer mon poignet pour me ramener et l'inquiétude vu l'état dans lequel je devais être, c'était normal. Mon regard fit le tour de la chambre, mais aucune trace de celui qui était mon petit ami.. Après mettre rhabiller non sans mal, car le mal de tête qui m'avait tirée des bras de Morphée n'était pas décidé à laisser ma tête en paix, j'étais bien décidé à regarder ma propre chambre. Après mettre rhabiller non sans mal, car le mal de tête qui m'avait tirée des bras de Morphée n'était pas décidé à laisser ma tête en paix, j'étais bien décidé à regarder ma propre chambre.

Le couloir pour atteindre ma chambre était long, trop long. Le mal de crâne colossal que je me tapais flouait ma vue et je n'arrivais pas marcher correctement, je longeais donc les murs me maudissant d'avoir autant bu. Mon regard fut attiré par du mouvement en direction d'une des chambres. Une jeune femme que je ne connaissais ni d'Eve ni d'Adam venait quitter non sans un roulage de pelle en bon et du forme la chambre de la personne qu'il avait occupé mes pensées la nuit dernière : L. Elle passa à côté de moi et mon regard se posa sur elle la regardant partir et une seule question s'était imposé à moi était-ce elle ? Elle qui lui avait fait prendre la décision de tout arrêter entre nous ? Un demain vient masser l'une de mes tempes alors que mon mal de crâne me rappelait à l'ordre de nouveau, mon regard tombe sur celui de L. Je m'avançais, car pour rejoindre ma chambre, je devais passer devant la sienne. J'aurais pu passer sans rien dire et l'ignorer, mais le sentiment d'agacement qui persistais en avait décidé autrement, « C'est ta nouvelle copine ou un simple nouveau plan cul ? » Mon ton était simplement neutre « Tu as eu mieux je trouve », c'était sûrement faux cette fille était vraiment magnifique, mais je n'avais aucunement envie de lui avouer

HRP:

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Secret Love Song

Feat. Passion

J’avais tenu parole. Depuis que je lui avais définitivement tourné le dos, je n’étais jamais revenu la voir une seule fois, ni elle d’ailleurs, et c’était très bien comme ça. Je ne la voyais sincèrement pas revenir après ce que je lui avais dit ce soir là, ces paroles m’étaient encore restées ancré dans l’esprit en me souvenant parfaitement de l’expression de son visage à ce moment là. Je ne le regrettais pas, non. Cela n’avait non plus impacter ma façon de la voir quand nous nous retrouvions tous autour d’une table, ou bien lorsque je passais du temps avec Dark et qu’elle se trouvait là. J’agissais comme à mes habitudes, ne laissant rien paraître, n’éveillant le moindre doute.

Vous en souvenez-vous ? Cette personne que j’avais mentionnée lorsque je lui avais confié que je partageais une histoire avec une autre qu’elle ? Et bien cela n’était un mensonge dans un sens, il y avait une part de vérité mélangée à de l’exagération. J’avais effectivement rencontré quelqu’un depuis un moment déjà, une jeune femme qui rêvait du prince charmant et du grand amour avec grand A, celui que je n’avais envie de connaître, celui que j’envoyais royalement chier. Elle était une femme très douce, innocente et patiente. Une femme très soignée, et une âme au grand cœur. Elle n’est pas spécialement incroyablement belle, mais sa personne faisait tout son charme. Vous dire que je me suis épris d’elle serait un mensonge, car je ne le suis pas. Pour tout vous avouer, elle était là, avec cet air innocent que son visage affichait toujours, assise au bar vêtue de cette robe rouge moulante qui lui remontait jusqu’aux cuisses, les cheveux noirs comme l’ébène, détachés et déversés sur un côté qui ondulaient légèrement, je me souviens encore de son parfum qui m’avait enivré ce soir là, n’ayant tardé à éveillé l’ensemble de mes sens. Vous l’avez deviné, je n’étais pas resté bien longtemps indifférent à cette demoiselle, et après de longues discussions et s’être frotté l’un à l’autre dans des danses sensuelles, j’avais fini par craquer et l’avais emmené jusqu’à ma chambre, là où nous nous étions donnés l’un à l’autre, là où elle s’offrait pour la première fois à un homme. Je lui avais pris sa virginité sans ressentir le moindre regret, après tout elle était consciente de ses actes et l’avait pleinement voulu. Suite à cette nuit bien agitée, elle n’avait cessé de venir me voir, m’offrant tout un tas de trucs aussi utiles qu’inutiles, se collant à mon bras comme si nous étions un couple, me préparant des sandwichs et mets. À croire qu’en ayant été le premier homme à l’avoir touché, cela faisait de moi son petit ami ? Non, vraiment, elle était pathétique. De quelle époque venait-elle au juste ? Je finissais par m’en lasser au fur et à mesure, jusqu’à ce qu’une idée fuse à l’esprit. Peut être qu’il serait intéressant si je me servais d’elle pour mettre terme à ma « relation » avec Passion. Voilà l’idée que j’avais eu pour en terminer une bonne fois pour toute. Que cela fonctionnerait ou non je n’en avais que faire puisque de toute évidence je l’avais, elle, elle suffisait largement comme preuve. Alors pendant tout un temps j’avais fait semblant, je jouais la comédie, souriais avec elle, mangeais avec elle, partageais ses draps avec elle, tel un couple, je m’étais adonné à ce jeu et continuerai ainsi encore un moment avant de l’abandonner définitivement, avant de lui tourner le dos comme je l’avais fait sans pitié, avec tant d’autres. Cruel, oui, je le suis, et alors ?

Aujourd’hui était un jour comme un autre, j’avais eu l’envie de composer, m’essayais à une ballade pour changer un peu. Écrire quelque chose de plus doux, mais je ne sais pourquoi ce que je rédigeais sur ce morceau de papier, à présent froissé de mes mains, ne revenait sans cesse qu’à elle. Bien que je ne laisse rien paraître aux yeux des autres, quand je me retrouvais seul dans mon espace privé, je songeais. Inlassablement, mes pensées se tournaient vers elle, et je me laissais morfondre jusqu’à que je finisse par m’en lasser. J’avais beau eu me perdre chez d’autres, rien n’y faisait, je continuais à ne voir qu’elle, ne pensais qu’elle, ne respirais qu’elle. Mon dieu, que m’arrivait-il ?

Alors que j’eu envie de me changer les idées, étouffant dans cet espace trop étroit, j’enfilais une veste par-dessus ma chemise et m’apprêtais à sortir lorsque l’on frappa à ma porte.« Ah, tu comptais sortir ? Je t’ai préparé quelques sandwichs comme tu les aimes. » M’avait-elle dit en tenant par-dessus son bras un panier qui semblait bien garni sous ce tissus à carreaux. Comme toujours, un sourire étirait ses lèvres, venant illuminer son visage aux traits doux, la rendant que plus belle. Il est vrai que je me foutais de ses sentiments et de l’abandonner lorsque j’aurais jugé cela suffisant, mais je reconnaissais qu’elle ne méritait pas un sort comme celui là. Elle était bien trop naïve, elle ignorait et ne se rendait compte de rien. Alors qu’elle me tendait le panier tout en se mordillant la lippe inférieure, tandis qu’un manteau rouge couvrait doucement sa peau de lait, peut être légèrement embarrassée par mon silence, je finis par attraper d’une main le panier et souris faiblement. « Et si nous les goûtions ensemble? » Un sourire encore plus lumineux que le premier avait éclairé son visage, faisant disparaître rapidement le manteau rouge tandis que ses pupilles s’étaient dilatées. Était-ce ça, être amoureux ? Était-ce à quoi ressembler les gens lorsque cupidon les avait atteint de ses flèches ? J’en riais intérieurement. « Vraiment ? Tu veux bien ? Dans ce cas, si nous allions profiter sous le soleil ? » J’hochais simplement de la tête tout en lui demandant de bien vouloir m’attendre dehors le temps que je termine de ranger ma chambre un peu désordonnée, ce à quoi elle acquiesça sans broncher, totalement impatiente et excitée comme une enfant à qui l’on promettait quelque chose de grand si elle se comportait convenablement.

Prenant mon temps mais me dépêchant tout de même, je ramassais les tonnes de morceaux de papiers froissées sous le bureau et à côté du lit. Observant le tas que j’avais rassemblé, je me rendais compte que l’inspiration m’avait quitté. Je n’étais plus qu’une coquille vide que l’on pouvait jeter sans s’en soucier à présent. Jugeant cela suffisant, bien que je n’aie terminé, j’enfilais ma veste par-dessus les épaules et sortais de la chambre avant que mon regard n’en croise un autre, que je connaissais parfaitement et dans lequel je m’étais perdu à de nombreuses fois. Mes paupières se fermèrent un instant avant de les ouvrir à nouveau pour en croiser d’autres. « Veux-tu bien m’attendre devant l’hôtel ? » Elle avait une fois de plus acquiescé sans rien dire même si l’expression qu’affichait son visage en disait long. Après m’être assuré qu’elle se trouvait suffisamment loin, je détournais mon regard en direction de Passion, l’ayant laissé dans le silence suite à sa question, elle relança son appel, insatisfaite si l’on en jugeait le pic qu’elle venait de me lancer. Je ne laissais paraître aucune émotion sur mon visage et me forçais à jouer à nouveau la comédie comme je le faisais si bien depuis toujours. « Ma petite amie. » Avais-je simplement laissais sortir de ma bouche d’une petite voix et en la regardant avec cet air neutre.

Elle n’avait à s’éterniser sur le seuil de ma porte, pas après tout ce que je lui ai dis si il lui restait un peu de conscience. Elle devait m’ignorer, me haïr et m’oublier tout comme je m’essayais de faire la concernant.

To be continued ...

HRP:

Tell Me...

Passion & L

Depuis que les mots avaient quitté mes lèvres dans une provocation puérile, je n'avais lâché celui qui avait malheureusement envahit mes pensées la veille. Je l'avais regardé alors que le son visage ne laissait rien paraître me laissant quand le flou ce qui ne faisait accroître mon sentiment d’agacement. Quand enfin, il consent à me répondre, ma mâchoire se contracte. Il ne faisait juste que confirmer l'une des deux options que j'avais déjà en tête en ayant aperçue la demoiselle. Il me l'avait confirmé avec une telle aisance que s'en était affolant. Lui qui disait ne jamais ce posé encore une fois, il a su nous surprendre.. Me surprendre surtout. J'ai continué de l'observer sans rien dire cherchant une trace de mensonge dans ses trois petits mots qui me faisais grimacé intérieurement, mais rien, ses yeux ni c'est geste ne me donnais cette information à laquelle je me suis surpris d'aspirer. Sa façon de me regarder, cet air neutre alors que son regard était sur moi me dérangeais, il me donnait l'impression d'être une parfaite étrangère à ses yeux désormais. Un petit rire franchit mes lèvres ne faisant qu'accentuer mon mal de tête qui ne faisait qu'empirer et je savais que provoquer L comme je le faisais, j'allais rien m'apporter de bon bien au contraire, je crois que j'allais fortement empirer mon cas...

Je l'observais toujours et je pouvais voir qu'il n'espérait qu'une chose que je passe mon chemin et malheureusement pour lui, je ne voulais aucunement accéder à sa requête silencieuse. Je sais clairement que ce n'étais pas le lieu ni le moment, mais je voulais des réponses aux questions qui m'on torturé à plusieurs reprise depuis qu'il avait mis un terme à la liaison que l'on entretenait. Je m’appuie contre le mur histoire d'avoir un petit appuie au cas où à cause de ma migraine, je ne tombe « Eh bien, je suppose que les félicitations son de mises ? » la voix que j'avais ne ressemblait en rien à celle d'une amie qui félicitait quelqu'un de son bonheur, ma voix n'étais pas non plus amère comme je l'aurais cru, mais c'était plutôt une voix amuser et joueuse, je ne peux même pas dire que cela ne me ressemble pas, ni même que ce comportement est normal enfin jamais avec lui directement de cette manière « C'est bien comme quoi même le grand L qui disait ne pas vouloir se posé se case enfin, je suis surprise » j'avais l'impression d'être une pauvre fille pathétique et dans le fond je savais que ce n'était pas qu'une impression je l'étais vraiment à mes propres yeux alors je n'imagine même pas aux yeux de L je ne devais même pas valoir mieux que ces pauvre filles qu'il avait plus d'une fois jeté. Et vu les mots qu'il m'avait jetés à la figure la dernière fois, c'étaient réellement les sentiments que ses mots m'avait inspirer...

Je savais que ce qui parlait pour moi était ce sentiment d'envie que je ne me devais de ressentir, un goût amer que ce n'était pas juste alors que ça l'était. En y réfléchissant L avait bien fais, mais je n'arrivais pas à accepter qu'il m'abandonne comme cela, mais qui pouvais-je ? La raison voudrait que je passe mon chemin, mais ma logique remplis d'amertume n'était pas d'accord « Et elle aussi quand tu te seras lassé, tu la jetteras après avoir baisé avec ? Ou bien cette fois monsieur à bel et bien mordu à l’hameçon et à été prit dans les filets d'une gente dame ? » Je penchais la tête sur le côté en abordant un petit sourire provocant et amuser. Même si je n'en montrais rien, je savais aussi que sa réponse pourrait aussi bien me faire aussi mal que ceux au bord de la piscine...

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Everytime I See You,

I die a little more

Feat. Passion

Je l’observais sans rien ajouter de plus, me demandant si cela suffirait pour la faire partir plutôt que s’éterniser sur le seuil de ma porte. À quoi bon ? Quel était l’intérêt de venir me voir pour échanger de cette façon ? Était-ce réellement nécessaire ? Je ne comprenais la réaction de Passion, je ne comprenais même pas pourquoi, après curiosité, elle continuait à s’acharner ainsi. Elle était pathétique, mais au fond je n’arrivais à lui en vouloir. Quoi qu’elle dise ou fasse, je ne pourrai lui en vouloir. Les secondes s’écoulèrent, avant qu’elle ne finisse par réagir en allant s’appuyer contre le mur, me faisant arquer un sourcil et comprendre qu’elle n’était pas prête à s’en aller de si tôt. Qu’y avait-il encore ? Souhaitait-elle se venger ? Parce que je savais pertinemment qu’elle ne voulait pas arrêter notre « relation » et malgré tout, j’y avais mis terme ? Si ce n’était que cela, et bien qu’elle fasse. Je ne l’en empêcherai pas, je la laissais volontiers se venger si elle le désirait, car à présent, je n’y prêtais plus attention. Chacun de ses pics ne m’atteignait en rien, je laissais paraître un visage avec nulle expression, lui rappelant combien mes mots étaient sincères, que je l’ignorerais si elle revenait à moi. Pourquoi autant se torturer ainsi ? Devais-je supporter davantage sa présence qui m’importuner tout comme la mienne devait lui importuner au vu de la tournure que ce monologue prenait ? Je soupirais intérieurement. Si elle pouvait seulement s’en aller sans insister, cela nous aiderait. Mon regard l’avait abandonné pour se poser ailleurs, gardant toujours le calme malgré l’ambiance qui régnait entre nous. Je ne voulais y répondre, je savais que si je tentais quoi que ce soit, Passion finirait par aller plus loin, à vouloir creuser plus profondément et vouloir découvrir certaines vérités cachées que j’avais encore difficulté à digérer. Non, vraiment, il fallait que je fasse perdurer le silence le plus que possible jusqu’à ce qu’elle s’en lasse définitivement et se rendre compte qu’il ne servait à rien de venir jusqu’à moi, qu’il en était vain.

J’ignorais si nous pouvions encore parler d’amitié entre nous. Nous l’étions pourtant, mais chacune de nos rencontres finissait par me changer et me faire douter un peu plus chaque jour. Passion ne me confiait plus rien depuis qu’elle m’avait avoué l’auteur de ses marques sur son corps. J’avais la sensation qu’elle me cachait quelque chose, à ne jamais finir ce qu’elle commençait. Elle s’interrompait sans cesse, me confiant qu’elle en avait trop dit et gardait ensuite ce silence qui me tuait. Je ne lui confiais plus rien non plus quant à moi. Toutes mes pensées et mes doutes, j’allais les étouffer dans les bras d’autres ou bien quand cela me devenait insupportable, et qu’il me fallait discuter, j’allais à la rencontre de Kokoro, mais depuis ce qui c’était passé avec Azur et après avoir découvert qu’ils étaient très proche, j’allais moins la rejoindre. Finalement je ne savais ce que nous étions. Aux yeux de tous nous étions amis, nous étions proches car j’étais celui qui l’avait fait se joindre à nous après l’avoir guidé à son arrivé. Mais, cela n’avait été plus qu’une simple couverture pour camoufler les amants que nous étions devenus.

Les remords continuaient à faire surface, songeant que rien de tout cela ne serait arrivé si je ne l’avais pas entraîné avec nous. Si Dark ne l’avait jamais rencontré, nous n’en serions pas là aujourd’hui. Où en serions-nous ? Je n’avais eu temps de réfléchir plus longuement à la question lorsque le son de sa voix se fit entendre à nouveau, alertant ma conscience du danger, si on pouvait réellement nommer ça comme tel. Pourquoi ? Pourquoi insistes-tu autant ? Pourquoi me poussait-elle à vouloir dire des choses que je ne souhaitais pas prononcer ? Pourquoi ne pouvait-elle simplement se contenter de mon égoïsme la fois dernière ? Je n’avais pas la force d’être aussi désagréable une deuxième fois, bien qu’en toute franchise, je ne me serais jamais attendu à ce qu’elle revienne et insiste de cette façon, étant persuadé que mes dires l’avaient suffisamment blessé pour qu’elle ose revenir. J’avais tors.

Mes yeux s’étaient levés en sa direction, et s’étaient stoppés sur ses lèvres étirés en un sourire étrange qui m’avait interpelé. Semblait-elle amusée ? Qu’est ce qui la faisait autant rire ? Fronçant un peu des sourcils je portais cette fois ci mon regard dans le sien et laissais un léger soupir s’échapper d’entre mes lèvres avant qu’un sourire aussi vrai et sincère que possible finisse par étirer mes lèvres à mon tour. « Seul le temps nous le dira. » Je m’arrête un bref instant. « Mais, pour l’instant, je n’ai jamais été aussi sérieux avec une femme de toute mon existence. » Je laissais une main venir décoiffer l’arrière de ma tête, agissant comme si j’étais embarrassé après avoir avoué un lourd secret, alors que tout cela n’était que comédie. Hésitant un instant, je fermais les yeux puis les ouvris à nouveau, me demandant si cela l’arrêterait. « Je l’aime, Passion. » Avais-je prononcé d’une petite voix que cela en fut presque inaudible.

To be continued ...

Tell Me...

Passion & L

Si je n'étais pas déjà contre le mur, je pense que je serais tombé à la renverse. Nous nous regardions, mais je ne voyais rien d'autre que son sourire. Un sourire sincère en m'avouant qu'il n'avait jamais été aussi sérieux avec une femme. Je croise les bras sur ma poitrine et mes poings se serrent, je les serre tellement que mes phalanges blanchissent encore plus, mais je m’efforce de garder le sourire amusé que j'avais abordé tantôt, mais je savais aussi qu'il ne devait plus avoir l'air aussi crédible. L'entendre dire qu'il n'avait été aussi sérieux avec une femme, je ne le savais que trop bien. La dernière nuit que nous avions passer ensemble m'avait fait réaliser que je n'étais qu'un divertissent de plus et que cette femme n'en était finalement pas un...

Je l'aime Passion Je reste interdite un long moment, un très long moment, plus rien chez moi ne semble fonctionner correctement. J'ai l'impression que ma respiration elle ce coupe littéralement comme ci je venais de me prendre un coup violent en pleine poitrine et je tente comme je le peux de faire bonne figure devant la révélation de L, j’avoue que même pendant un instant je pense avoir mal entendu et un petit rire sors d'entre mes lèvres, un rire incrédule je n'arrive pas à croire ce que j’entends et pourtant c'est bien L que je vois devant moi, pas quelqu'un d'autre et pourtant les mots qui vienne de sortir de sortir de sa propre bouche me paraissent tellement irréelle. Ma tête me fait mal comme ci les mots à peine souffler de L en parlant de la jeune femme qui occupait ses pensées venait porter le coup de grâce au mal qui me frappais déjà depuis mon réveil, « C'est une blague ? » Cette question, je me la posais plus à moi-même que pour lui. Le sourire qui était peint sur mes lèvres n'était plus, mon visage s'était recouvert d'un masque d’incrédulité total. J'essaie rapidement de reprendre contenance ne voulant donner à L le plaisir de me voir plus troubler que je ne le suis...

Je me masse les temps non seulement pour calmer mon mal, mais aussi pour me calmer un minimum « Tu es donc amoureux ? » J'avais soufflé ces mots comme s'il m'avait brûlé la gorge « Comme quoi tout arrive » un nouveau petit rire se fait entendre de ma part en le regardant droit dans les yeux « Donc si je comprends bien, tu as arrêté nos... » Je m’interromps un instant et secoue légèrement la tête pour essayer de trouver un mot sur ce que nous faisons «... Nos moments de baise » je ne voyais plus que ce mot la, après tout n'était ce pas ce mot-là qu'il avait employé la dernière fois ? Il m'avait baisé comme il le voulait avait-il dit... Et on peut même dire qu'il m'avait baisé dans tous les sens du terme dire que je croyais qu'il y avait plus... Je pense être finalement la seule avoir ressenti cette petite chose en plus entre lui et moi, finalement pour lui aussi, je n'étais qu'une fille à porter, mais avouons le n'était ce pas ce qui était prévue ? Que du sexe entre nous ? Je jure faiblement en me rendant compte que j'ai perdu le contrôle du 'jeu' et que j'ai laissé et laisse des sentiments dérangeant entre nous.

J'arrête mes pensées pour finalement reprendre « Tu as tout arrêter pour elle... » Je tourne mon regard dans la direction ou la jeune demoiselle était partie il y a peu et laisse mes yeux vagabonder dans cette même direction « On vraiment dire qu'il y a de quoi être surprit, tu as dû en brisé des cœur en te casant enfin...un coureur comme toi va tenir avec une seule dame ? »

Codage made by. M

We got a love

that is hopeless

Feat. Passion

Donnais-je l’impression de plaisanter ? Lorsque ses mots franchirent ses lèvres, venant m’interroger, mon regard s’était détourné. Mon âme se consumait doucement en l’entendant se prononcer suite à ma révélation inattendue. Je voulais qu’elle s’en aille, oui, je ne pouvais supporter de lui faire face encore longtemps, je ne demandais que ça, qu’elle oublie ce que nous étions, et trace sa propre destinée. Était-ce trop demandé ? Pourquoi était ce si difficile pour elle de m’ignorer après tout ce que je lui avais balancé au visage, à moins que ce ne fût que de la simple provocation, dans le but de se venger après avoir été aussi répugnant avec elle. N’importe qu’elle femme aurait fuit, mais elle était revenue, étrangement, subitement, inlassablement. Ne se lassait-elle pas d’être rejetée infiniment ? Un soupire échappa d’entre mes lèvres l’entendant à nouveau se confier quant à ma nouvelle. Bien que ses mots prouvent le contraire, j’avais du mal à croire que les miens ne l’avaient touché et encore aujourd’hui, après tout n’était-elle pas celle qui était revenue ? N’était-elle pas celle qui subsistait à demeurer sur le seuil de ma porte en me lançant des pics dans le simple but, peut être, sûrement, de faire perdurer cet instant de torture qu’elle s’affligeait elle-même ? Bon sang, Passion, ne peux-tu simplement pas m’ignorer ? À quoi t’attaches-tu autant pour revenir sans cesse vers un sot qui tente par tous les moyens de t’oublier ? Ne peux-tu pas m’aider dans cette détresse ? Je ne réagissais à aucune de ses remarques, après tout, l’ignorance finirait par la lasser tôt ou tard, si ce n’était maintenant, le temps viendra s’y prêter, et l’éternité, surtout.

L’écoutant, mon regard avait de nouveau plongé dans le sien avant de l’observer. Ses gestes la trahissaient horriblement malgré les mots qu’elle soutenait, je devinais combien elle avait du mal à digérer ma confession, pour preuve, elle se perdait dans ses propres dires, j’en avais presque de la peine, moi qui, en temps habituel, n’en éprouvais aucune, le faisait simplement paraître du moins. Je gardais le silence à chacun de ses mots, lui répondant silencieusement que j’avais déjà cessé de la désirer depuis cette nuit là. Après tout ne lui avais-je dit ? Je la repousserais si elle revenait constamment à moi. Qu’il serait la première et la toute dernière fois que l’on se verrait dans un contexte hors de notre cercle d’amis. La tentation se trouvait toujours là malgré la lutte, il ne fallait rien aviver de nouveau pour éviter les problèmes. Passion appartenait à Dark et à personne d’autre. Elle pouvait panser ses blessures chez d’autres hommes, faire tout ce dont elle avait envie avec eux, mais elle était sienne et quoi que, quiconque souhaitait, il en était ainsi. Elle n’en avait non plus envie de s’en détachait, s’enfonçant dans un cercle vicieux qui la submergeait puisque, voilà quel était le résultat.

Mon regard ne cessait de lâcher sa personne, observant ses moindres faits et gestes qui ne m’échappaient guère tandis que son regard partait en direction du couloir, empruntant la même direction que celle qui partageait soit disant ma vie à présent. Un léger soupire s’échappa d’entre mes lèvres en la voyant faire jusqu’à ce que mes yeux s’arrondissent en l’entendant une nouvelle fois se prononcer, comme si elle semblait vouloir me faire passer un message, ou bien, me faisais-je sobrement des idées ? Je ne sais pas, je ne sais plus. Je ne savais plus quoi penser à présent. Mes paupières s’étaient fermées pendant l’espace d’un espace, tentant de gagner le calme afin de mieux réfléchir. Fort heureusement Passion avait le regard détourné pour ne pas s’être aperçue de ma réaction, qui, je vous avouerais, m’avait pris au dépourvu. Je ne me serais attendu à ce qu’elle me demande ceci, même si, au fond, je savais qu’elle ne me posait clairement la question. Passant une main dans mes cheveux que je les plaquais à l’arrière de ma tête, tandis que l’autre venait se perdre dans la poche de ma veste en cuir. « Je crois que tu n’as pas saisi mon message ce soir là. » Un petit rire moqueur et d’agacement accompagnait mes paroles que je tentais de prononcer du mieux que je pouvais en laissant paraître cet homme froid que je lui avais présenté cette même nuit là. « Si tu es venue pour me féliciter, et bien je t’en remercie, mais il est inutile que tu en fasses tout un cinéma. » Lui avais-je dit fermement en plongeant mon regard dans le sien. Serrant le poing dans la poche de ma veste je poursuivais, « Enfin Passion, ouvre les yeux. » À nouveau un petit rire moqueur vint se faire entendre, me laissant suffisamment le temps pour digérer mes propres mots que je m’apprêtais à les lui adresser. « Game is over. » Passant à nouveau une main dans mes cheveux je repris, cherchant à légèrement la provoquer suite à ses dires. « Même si j'échouais, je n'irais pas la tromper avec une amie. » Mon ton avait été neutre et je ne laissais aucune émotion couvrir mon visage à ce moment là, bien qu'en réalité, il se serait crispé en me voyant l'injurier de toutes les façons possible, pour la pousser à me détester, moi, pauvre sot que faisais-je.

To be continued ...

Tell Me...

Passion & L

Mon attention était toute tournée vers lui, je retenais même un rire quand ouvre de nouveau la bouche pour simplement dire que je n'avais pas saisi le message. Oh, s'il savait à quel point ses mots hantait encore mon esprit déjà tourmenté par d'autres choses, mais ses mots étaient en tête de liste allez savoir pourquoi dès qu'il était concerné les choses dans ma tête prenait une plus grande ampleur. Ne plus l'approcher autre que dans notre cercle d'amis son message avait été clair et pour le moment, je m'en étais tenu à ce qu'il eût dit, mais maintenant que j'avais la vérité en pleine fasse, cette fille pour qui il arrêtait sa relation avec moi. Fille que maintenant, je jalousais, oui, je la jalousais pour avoir désormais toute son attention qui m'était maintenant refuser. Plusieurs fois, il m'avait dit ses doutes, plusieurs fois, il avait mis des barrière entre nous, mais souvent elles avaient cédé, là les mots qu'il m'avait dit ce soir-là, j'avais compris que ce n'était pas pareil dès qu'il avait mentionné quelqu'un d'autre et là oui la vérité était la et les mots 'je l'aime' avaient été prononcer mot qui n'avait jamais franchit ses lèvres avant aujourd'hui.

Son petit rire moqueur m'irritai et était comme une agression à mes oreilles. Qu'avait-il de si drôle ? Son regard était figé dans la même expression que ce fameux soir, froid comme si tout cela ne lui faisait ni chaud ni froid ce qui devais être le cas. Ce qui me montre encore une fois à quel point je n'avais aucune importance pour lui à se demander même si nous avons été amis, sûrement était ce de la comédie ? Ou simplement m'étais-je imaginé tout ça ? Sûrement oui. J'avais cure de ses remerciements, je me doutais qu'il savait déjà mes félicitations, elles étaient vides vues qu'il avait continué en s'aventurant encore dans la méchanceté et la froideur. Nos regards plongés l'un dans l'autre, le siens était dur mettant un mur de plus entre nous, me faisant comprendre qu'il ni aura nul retour en arrière et je me préparais à prendre le nouveau coup de sa part.

Mes yeux s'écarquillent légèrement avant de me reprendre, Game is over ? Je passe une main dans mes cheveux pour les remettre en place oui, c'est vrai tout cela n'était qu'un jeu et quand une partie est terminer, il faut savoir abandonner et c'est ce que j'aurais pu et du faire, mais bizarrement, je n'avais pas dit mon dernier mot non, je n'en avais pas envie. Je m'approche de lui légèrement, alors qu'il continue en ajoutant qu'il n'ira pas la tromper avec une amie. Je m’arrête un instant, insinuait-il qu'il ne ferait en rien, si j'ai bien compris, pas la même chose que moi ? J'avais trompé Dark avec un ami, lui. Enfin, pour moi, il l'était. En plus d'être le siens. J'étais vraiment une horrible femme et j'en étais pleinement consciente. Cette femme ne méritait pas ce que je faisais subir à Dark, mes pensées étaient parties un instant vers lui également. Pour lui je devrais tout arrêter, mais là encore une fois, je ne le voulais pas, est ce parce qu'il s’agissait de L ? Peut être. Je m'étais assez approché de lui-même si je savais que cette proximité n'allait pas durer très longtemps « Quand une partie est terminée il suffit d'appuyer sur rejouer » je savais que ce n'était pas dans ses projets et que j'allais encore avoir droit à un nouveau rejet et qu'il allait mettre sa menace de m'ignorer tout bonnement à exécution, mais ces petits mots d'avant et ma non-envie de m'éloigner de lui avait réveiller mon envie de provocation.

Proche de lui mes yeux n'avaient pu s’empêcher de loucher sur ses lèvres, je n'avais qu'une envie, c'était qu'elle ne fasse de nouveau qu'une, mais je tenais bon et m’approche simplement de son oreille « Personne n'a parler de la tromper avec une amie L, il ne faudrait pas que tu fasses la même bêtise que moi » Je dépose un baiser sur sa joue avant de reculer quelque peu ne voulant pas non plus me faire repousser violemment « Ce serait vraiment bête de ta part » Je recule pour retourner à ma place initiale et penche la tête sur le côté « Mais comme tu l'as dit, tu ne le feras pas »

Codage made by. M

I wish that

we could be like that

Feat. Passion

Se moquait-elle de moi, ou bien cherchait-elle à me tenter ? Qui diable était donc cette femme pour me pousser autant à bout, cherchant à me déstabiliser de quelconque façon, et ce qui eu dont de me faire froncer les sourcils ? Que signifiait-elle par là ? Rejouer, pourquoi devrais-je lancer à nouveau la partie alors que je lui avais clairement fait comprendre que cela ne m’intéressait plus puisque de tout évidence j’y avais mis terme. Quel était donc son problème après tout ce que je lui avais dit et fait ? Pourquoi ? Pourquoi ? Avait-elle pensé pendant l’espace d’un instant, que je jouerai de nouveau avec elle, que mes sens me perdront lorsqu’elle aura suffisamment usé de ma patience ? Je ne devais craquer, pour le moindre du monde, je devais tenir cette promesse que je nous avais faites et ce, par n’importe quel moyen.

Alors qu’elle s’était rapprochée davantage de moi, je reculais légèrement de quelques minuscules pas jusqu’à ce que j’aperçoive son regard se perdre sur mes lèvres, ne manquant ce petit détail qui, pourtant, en disait long à son sujet. La jalousie la dévorait-elle à ce point ? Pourquoi s’inventer tout un scénario en cherchant à provoquer l’autre partie au lieu de s’expliquer clairement ?

Je me figeais un peu lorsque je sentis son souffle caresser le creux de mon oreille, avant de terminer par froncer à nouveau les sourcils en l’entendant se prononcer. Je ne savais que trop penser et me forçais à trop n’y songer de peur de me noyer à nouveau dans mes tourments qui me submergeront, sans aucun doute. Je jouais l’homme cruel qui ne faisait transparaître aucune émotion mais si seulement elle savait combien je me tordais secrètement de douleur, en m’injuriant de l’avoir tant charrier. Penser pour ne pas penser, pouvait-on me priver de mes sens afin que je puisse reposer en paix ? Je me sentais pathétique, je me riais de moi-même. Comment avais-je pu tomber si bas ?

Fermant les paupières le temps qu’elle se décide à conclure, un léger petit soupir s’était échappé de mes lèvres lorsque les siennes s’étaient déposées contre ma joue. Un contact, le tout premier contact physique depuis cette nuit là. Mon corps qui n’avait cessé de réclamer le sien depuis toujours était encore dépendant à l’heure actuelle, semblant ne vouloir s’y détacher de suite, ou ne s’y détacher tout court s’il fallait être loyal. Je prenais conscience que cela allait horriblement m’être fatal, que malgré l’ensemble de mes effort, je ne pouvais rien y faire. Le temps, le temps allait m’aider, n’est ce pas ? Le temps allait panser mes blessures et je finirais par l’oublier complètement. J’y croyais ardemment, je priais continuellement.

Ouvrant les paupières lorsque je ne sentis plus sa présence m’entourer, je la regardais franchement droit dans les yeux, laissant tomber le mur que j’avais battis pour la je ne sais combien de fois. Avec tout le courage qu’il me restait, j’osais lui poser les questions dans l’espérance d’avoir un retour qui conclura définitivement ce chapitre, redoutant toutefois ce qu'elle me dirait. « Pourquoi n’abandonnes-tu pas ? Qu’est ce qui te tient tant à cœur pour continuer à te perdre dans les bras d’autres hommes ? » Je ne la lâchais du regard et poursuivis, « Que suis-je pour toi ? Un ami ou bien un amant ? » Baissant légèrement les yeux je les relevais de nouveau, allant à l’encontre de ses prunelles. « Si cet ami compte pour toi, ne devrais-tu pas prier pour son bonheur ? » Un petit sourire amer avait suivit suite à mes mots avant que je reprenne « Mais si cet amant compte pour toi, ne devrais-tu pas simplement l’aimer ? » Mon ton avait été différent de toutes ces fois à présent, beaucoup plus doux, plus calme, si imprévisible.

To be continued ...

If only

Passion & L

A million thoughts in my head, should I let my heart keep listening? ’Cause up till now, I’ve walked the line, nothin’ lost, but somethin’ missin’ I can’t decide, what’s wrong, what’s right, which way should I go? If only - Dove Cameron

Mes yeux ne l'avaient lâché fixant toujours ses paupières closes. En cet instant j'aurais pu tout donner pour savoir ce qu'il se passait dans ses pensées et pouvoir me préparer de nouveau à des mots froid et cruel réfléchit par son esprit qui n'aspirait qu'a une chose me sortir de sa vie. J'avais voulu jouer, j'avais voulu le provoquer, mais au fond, je savais bien que je n'avais peur que d'une chose n'être plus rien pour lui cette chose-là m'était totalement inconcevable. Plus son silence perdurait plus je me questionnais sur le fait que j'avais peut-être poussé la provocation trop loin peut-être que j'avais franchi cette ligne de non-retour et l'avais pousser à réfléchir au meilleur moyen de m’évincer totalement me donnant pire que son ignorance comme punition. Quand enfin ses yeux m’apparurent de nouveau, j'avais senti quelque chose de différent, si bien que j'effectuai un pas de recul, non pas que j'avais peur qu'il me fasse physiquement du mal, mais plutôt que les mots qu'il sortirait de sa bouche me bouffe un peu plus et me blesse plus que raison. C'est en me torturant l'esprit que je comprenais que ses mots avaient vraiment un impact sur moi, pouvant me faire passer du rire aux larmes et bien d'autre émotions qui dérangeait mon esprit déjà trop torturé remplis de mes pensées pour lui et bien d'autre tourment.

J'avais croisé mes bras sous ma poitrine, comme une petite barrière qui me protégerais de ce qu'il me dira. Mes yeux s'écarquillent à ses questions, d'une part parce que je ne m'y attendais pas et de deux que pouvais-je répondre ? Abandonner quoi ? Et la compagnie d'autre homme que le mien pourquoi je ne l'abandonnais pas ? Je ne savais pas. Sûrement pour combler le sentiment de vide ? Dark a su comblé se vide un temps, mais petit à petit malgré tout le vide que je ressentais à lui seul, il n'avait su le combler. J'avais donc franchit une première fois la ligne, puis une autre et encore... Cherchant à le combler et une fois, je l'avais trouvé, mais je n'ai jamais pu me l'avouer...J'allais répondre à sa suite et lui coupé la parole, mais il enchaîna et une nouvelle fois je ne pus que me figer. Était-ce une blague ? Me demandait-il vraiment cela ? Ami ou amant ? Un petit rire nerveux avait quitté mes lèvres alors qu'il continuait de parler. Qu'était-il pour moi ? Pendant, longtemps, il était un ami, un ami sur qui je pouvais me reposer, avec qui je pouvais rire et m'amuser sans tabou. Mais il y a eu ce soir, ce dérapage entre nous nos lèvres se sont trouver et nos corps se sont trouver et d'amis nous étions devenu amants. Pendant un temps, je pense que nous avons réussi à concilier les deux, ou peut-être que je me le suis imaginé ?

Son regard s'encra de nouveau dans le mien, ses mots faisaient que mes pensées s’emmêlaient encore plus qu'elle ne l'était. Y avait-il une bonne ou une mauvaise réponse à ses questions ? Pouvais-je lui en donner qui le satisferais ou nous satisferais tous les deux ? Je ne le savais pas. Une main vient remettre une de mes mèches de cheveux qui me gênaient, je détournais le regard n'arrivant à maintenir le contact avec lui. La situation m'avait échappé et je redevenais encore plus troubler et je reculai d'un nouveau pas comme si cela m’empercherait de répondre, mais ne serais-ce pas prendre la fuite ?

Un soupire franchit mes lèvres sans pour autant le regarder, je cherchais une solution, une pirouette, mais pour une fois, je voulais être un minimum honnête juste pour une seule et unique fois peut-être. Continuant de regarder ailleurs reculant assez pour de nouveaux rencontré le mur « Tu as des questions surprenante L, vraiment surprenante et dérangeant, je ne m'y attendais pas du tout » je mords ma lèvre « Je ne sais pas ce que tu es L » mon regard revient chercher le sien « Tu n'es peut-être ni l'un ni l'autre » ce qui n'était peut-être pas faux après tout ? « Cet ami oui, je devrais être heureuse pour lui, je devrais lui souhaiter pleins de choses, s'il était encore mon ami.. » Un faible sourire se dessina sur mes lèvres, me rendant compte que cela pouvais sembler horrible, mais c'est ce que je ressentais « Et l'amant... » Je ris doucement en pensant à l’évidence que je fuyais depuis longtemps maintenant, « C'est justement le problème...Ce n'est pas, je devrais l'aimer, c'est que c'est déjà le cas » je soupire comme ci un poids venais d'être enlevé de ma poitrine, mais un autre venais de ce rajouté encore plus lourd en me rendant compte de ce que je venais de dire, mais il était trop tard pour changer ce qui avait été dit « Enfin bon, de toute façon ce n'est pas grave. J'ai plus ni mon ami ni mon amant n'est ce pas ?» Je souris essayant de reprendre contenance et prendre mon air provocateur pour cacher le trouble crée « Je ne devrais pas raconter ça à l'ami de Dark » Je fermais les yeux, je savais que le mentionner lui ferais sûrement oublier ce que je venais de dire ce qui ne serais pas plus mal « Ta petite amie t'attends, il me semble va » Je lui disais de partir, mais mes jambes ne bougeaient pas elles alors que je n'avais envie que d'une chose fuir loin d'ici avant que sa leçon de moral sur mon propre petit ami me tombe dessus et je n'avais clairement pas besoin de cela.

Codage made by. M

Why can't I say

that I'm in love ?

Feat. Passion

Allais-je regretter mes paroles dans quelques instants ? Je ne savais que trop penser, je voulais une bonne fois pour toute, mettre terme à mes tourments, alors il me fallait le lui demander. Qu’importe la réponse qu’elle me donnerait, j’apprendrai à faire avec. Encore une fois, les remords revenaient tout doucement me submerger lorsque le visage de Dark apparaissait dans mon esprit. Combien de fois m’étais-je excusé sans qu’il le sache ? Mais, il me fallait être honnête envers moi-même, car je le savais, après tout j’en avais désormais pleinement conscience, Passion ne m’était en rien indifférente. Je pouvais la fuir, je continuais à revenir vers elle. Je pouvais la haïr de la voir blesser Dark, je continuais à la désirer malgré tout. Sans compter le nombre innombrable d’hommes avec qui elle se perdait pour panser ses blessures. Je devenais totalement avide de sa personne, me rendant compte à quel point j’étais pathétique, oh oui.

Mes yeux n’avaient quitté une seule seconde sa personne, la moindre de ses réactions m’était précieuse, car ils ne me tromperaient contrairement, peut être, aux mots qu’elle s’apprêterait à dire. Les gestes ne trompent jamais, ils ne sont qu’évocateur.

Un soupir s’était échappé de ses lèvres, et fut la première réaction suite à mon questionnement. S’y attendait-elle depuis un moment déjà, redoutait-elle ce moment, ou se sentait-elle lassé de me répéter combien Dark était important pour elle et que malgré la peur qu’il lui évoque, elle ne pourrait se résigner à le quitter ? Ou alors ?
Deuxième réaction, le regard qui fuit, signe qu’elle cherchait tout simplement à fuir, à trouver échappatoire, pour quelles raisons ? Y avait-il plus que les raisons évoquées précédemment ? Troisième réaction, le repli. Elle s’était reculée jusqu’à ce qu’elle rencontre de nouveau le mur qui lui ferait appui. Chacune de ses réactions amplifiaient son cas, me dévoilant la peur qui la dévorait atrocement de l’intérieur. Que craignait-elle à ce point ? N’avait-elle jamais été sincère avec moi pour ne l’être aujourd’hui aussi ? Ou bien était ce donc la vérité qu’elle craignait d’exposer de peur que cela ne mette définitivement terme à notre « relation » des plus sordides ? Elle s’éternisait à imposer une distance entre nous tout en laissant le silence prendre un peu plus d’espace à chaque seconde écoulée, me laissant soupirer intérieurement. Je ne regrettais pas non, je savais que je faisais bien.

Pendant un moment mes yeux s’étaient perdus sur ses lèvres qu’elle avait mordues, me révélant belle et bien qu’elle se sentait déstabilisé, les mots qui suivirent me le prouvèrent amplement par la suite. Nos regards finirent par se rencontrer un instant pendant qu’elle continuait à se révéler, me dévoilant que je n’étais plus cet ami avec qui elle partageait tant de choses autrefois, du moins cela était la façon dont je l’avais compris. Mes sourcils se froncèrent un peu suite à ses paroles pendant que mon regard avait quitté le sien. Je ne savais comment l’interpréter et préférais simplement attendre. Attendre qu’elle me partage certainement plus, comme si je pouvais espérer plus. Pathétique. Je me sentais ridicule mais après tout ne l’avais-je pas voulu ? Voyons L, regretterais-tu tous les efforts et l’énergie fournis pour la pousser à te détester ?

Alors que mes songes m’emportèrent déjà au loin, oubliant presque sa présence, je levais à nouveau mon regard en sa direction lorsque son petit rire parvint jusqu’à mon ouïe. Qu’est ce qui pouvait être aussi comique pour qu’elle agisse ainsi aussi subitement ? Arquant un sourcil, toute mon attention se focalisa sur sa personne lorsqu’elle poursuivit en évoquant le deuxième cas. Je pensais l’arrêter ici, car je devinais déjà ses dires que je ne voulais plus jamais entendre à nouveau. Bon dieu L, sais-tu combien tu es si pathétique ? Pourquoi garder tout cela enfouie en toi, alors que tu sais combien Passion ne t’aie indifférente. T’obstiner à rejeter les sentiments que tu éprouves à son égard finira par t’étouffer que plus. Inutile de te le cacher davantage, tu le sais.
À deux doigts de l’interrompre, mes yeux s’étaient légèrement arrondis à la place tandis que je me répétais ce qu’elle venait de dire à l’instant. Cela semblait être un mirage. J’étais persuadé d’avoir mal entendu, et pourtant les mots qu’elle avait soufflés il y a quelques secondes seulement persistaient à résonner dans mon esprit tandis qu’elle continuait à se confier, encore un peu plus tout en me dévoilant qu’il n’était sage de s’être confessé, avant de me demander de partir rejoindre celle que j'aimais soit disant. Peut être que si je me confessais maintenant mon âme entière se sentirait apaisée, mais peut être que si je le faisais, si je reconnaissais ouvertement ce qu’elle signifiait pour moi, alors je ne pourrais plus stopper ces sentiments qui prendront de plus en plus d’ampleur sans le moindre doute. Qu’en sera-t-il alors à ce moment là ? Ne craindrais-je plus jamais Dark ? Serais-je aveuglé au point de céder à l’amour pour l’amitié, moi qui avais toujours considéré cela comme inimaginable ? « Tu as probablement raison, je devrais m’en aller. » Avais-je simplement dit en détournant mon regard sur le côté et tournant les talons, me mettant dos à elle, prêt à m'en aller.

Voici où nous en étions. Voici où chacun d’entre nous, nous trouvions. Pouvait-on réellement appeler cela de l’amour alors que ni l’un, ni l’autre, n’était prêt à sauter le pas, faire en sorte que nos sentiments deviennent réalités ? Nous n’avions d’espoir, alors pourquoi continuions nous éternellement à errer de cette façon ? Quel était donc le but de cette lute acharnée si ce n’est nous détruire un peu plus chaque jour. Absurde.

The End

Why can't I hold you in the street? Why can't I kiss you on the dancefloor? I wish that we could be like that, why can't we be like that? Cauz I'm yours. - Little Mix "Secret Love Song"

» [RP CLÔTURÉ] Time together [Ft Never]
» [RP CLOTURE] [-18] Enjoy the Here & Now ft. Passion (Piscine)
» [RP CLOTURE] Are you ok ? [Feat. Never]
» [RP CLOTURÉ] Why are you so mean with me Feat. Kei
» { RP CLOTURE } Answer me, i'm already lazy. [ feat L ]