[RP CLOTURÉ] Certaines vérités peuvent faire mal [Feat.Never]

Des nuits blanches comme je n'en avais encore jamais vécu depuis mon arrivé ici. Un rendez-vous avec des douleurs si insupportable que je n'avais vu Morphée depuis quelques jours. Des souffrances dû à ce flashback de mon vivant qui ne cessait de me tourmenté dès que la solitude était présente. Cet aspect de calme qui autrefois m'était si cher que j'aurais pu vendre mon âme pour avoir le privilège de goûter de nouveau à se calme était inexistant, devenant même l'un de mes pires cauchemar. Cette peur qui venait de se réveiller face à ses souvenirs de mon ancienne vie, me faisait comprendre que ma personne pourrait disparaître pour une autre personne. Mon âme reflétait ce que j'avais vécu, mais allait-elle changer ? Des questions sans réponses qui me détruisaient à petit feu, m'affaiblissant à l'idée d’être détruit par la mémoire de mon vivant dont je n'avais aucune envie de retrouver.

J'errais dans ce foyer qu'était devenue l'hôtel, perdu dans mes songes, dans ma souffrance que me prodiguait le résultat de ma vie en tant que mortel. Une pensée plus importante concernant cette femme qui m'était cher, me hantait. Des inquiétudes face à ce lien qui nous unissait en tant que confident et meilleur ami. Allait-elle me traité de la même manière que dans mes souvenirs où allait-elle m'abandonner? Cette peur qui tiraillait mes entrailles ne voulait partir, me laissant tomber dans l'abysse d'un cauchemar que je pensais interminable et sans fond. Ne faisant aucunement attention à ce qui m'entourait, je passais sans arrêt en tête ma journée avec Passion, repensant à cette déclaration qu'elle m'avait fait au sujet de Dark. Cet homme que je n'appréciais avait touché la seule personne qui m'était importante et même indispensable pour rester tel que je suis actuellement. Elle était sa copine et pourtant il osait abîmer cette femme dont il s'était embéguiné mais cela n'était que partiellement mon problème, étant déjà que trop occupé à cacher ma détresse à cette jeune fille qui n'avait que trop de problème pour recevoir les miens.

Alors que mes yeux se fermèrent au moment où mes pas se stoppèrent devant un ascenseur que je n'avais jadis jamais pris, un prénom revint en tête : L. Cette personne que je ne supportais pas mais qui se trouvait être proche de Passion et de Dark étaient-ils au courant ? Etait-il dans la confidence, l’ignorance ou encore dans le déni ? Aucune réponse n'était possible si la question n'était posé à sa personne et vu nos discussions, il serait inimaginable de penser que ma curiosité serait assouvit, prenant par la même occasion l'état psychologique dans lequel j'étais.

Revenant dans le monde réel suite au bruit sourd de l'ascenseur, je priais pour ne croiser personne, n'étant sur de rester tel que j'étais à l'instant actuel, l'insomnie me provoquant des saut d'humeurs dont je n'avais connaissance mais mes prières n'avaient été exaucé. Les portes s' ouvrantes, je ne pus que soupirer face au visage qui se dessinait petit à petit en face de moi. Cette personne qui m'était insupportable aussi bien en présence qu'en pensée n'était autre que L.

Stopper face à cette vision, ressentant un léger bug cérébrale en comprenant que j'allais devoir passer un laps de temps, je l'espérais, court avec lui, je m'imiscais à l'intérieur de cette antre métallique, ignorant sa phrase. Détaillant sa personne, je remarquais qu'il n'était dans son état normal, sûrement avait-il passé sa soirée avec sa bande d'enfant à faire des jeux et buvant sans prendre conscience de leur limite mais cela n'était pas important.

Regardant le numéro des étages défilé chaque minutes, un haussement de sourcil suivit d'une prise en main de la hampe m'avait permis de supporter la secousse dont nous avions été victime. Clignant les yeux pour m'habituer de ce changement de luminosité légère, les laissant faire de nouveau le même cycle lorsque la lumière revenait à nous, retrouvant ainsi une vision net que j'aurait préféré disparu.

Un numéro d'étage affiché, une sensation de mouvement finis, signalant que cet endroit métallique ne bougeait plus, nous laissant ainsi enfermé avec aucun moyen de fuite. Cette éternité voulait-elle tellement nous forcer à nous cotoyer ou cela n'était qu'un amusement ? Des pensées absurbes qui semblaient pourtant si réelles qu'un soupire fit place.

…. Putain.

Un seul juron avait réussit à faire place dans cet enclos dont nous étions prisonnier. Ce seul bruit qui allait être accompagner d'un silence de mort jusqu'à ce qu'un être charitable daigne s’apercevoir que cette invention stupide venait de rendre l'âme.

Tu portes la poisse.

L'éternité jouait, s'amusait à me rendre malchanceux, et cela avait commencé directement après ma rencontre avec cet homme qui se trouvait à mes cotés. Ma sentence à son sujet s'appliquait à moi, mais je ne voulais lui faire comprendre que ma vie était chamboulé depuis que je le « cotoyais » de façon involontaire. Il n'y avait qu'avec sa présence que les problèmes apparaissaient, me faisant ainsi comprendre que nous étions tout simplement fait pour vivre notre vie chacun de notre coté mais si cela était possible, j'en serais le premier heureux.

Cette situation m'était désagréable et me donnait déjà la migraine à l'idée que je devais supporter sa présence à mes cotés, surtout avec cette dégaine qu'il montrait. Une dégaine d'homme saoul qui le rendait pitoyable à mes yeux, surtout après cette réponse à ma simple vision des choses. Si tout ce passait bien de son coté sans moi, cela était tout aussi vrai dans le cas contraire, et bien sur, il avait fallu que nous nous retrouvions dans cet ascenseur pour attirer les emmerdes à nos côtés.

Une inattention totale sur lui, je n'avais rien remarqué de son faciale, me préocupant plus de ses quelques douleurs qui m'incombait encore, jusqu'au moment où je le sens se mouvoir pour se positionné devant moi, usant de cet alarme servant à prévenir d'un éventuel imprévu, chose intelligente lorsque l'on est enfermé avant de revenir à sa place, prenant soin de prendre mon attention envers sa personne.

Le détaillant du regard, son changement de position avec des yeux s'encrant dans les miens, je faisais abstraction de cette bouteille qui était sienne se vider petit à petit. Cet atmosphère lourde de sens et qui nous consumait jusqu'à ce que son jugement habituel me concernant brise le calme qui s'était abrité avec nous dans cet espace métallique, qui me fit simplement hausser les épaules. Muet dans l'âme, je n'avais aucune envie de répondre à cet exclamation juste inutile car après tout, ce qu'il pensait de moi ne me concernait le moins du monde.

Des oculaires posés sur moi, m'analysant ou bien même me scannant, je ne pestais pas, faisant à mon tour la même chose, pour enfin de nouveau retrouvé notre fâcheuse habitude de nous regarder droit dans les yeux, faisant disparaître ce qui m'entourait. Une nouvelle phrase qui avait réussit à me faire perdre le peu de neurones qui était réveiller, ne voyant au premier abord de qui il parlait. Etait-il en train de se parler à lui même ? Peu probable en vue de ses yeux ancrés dans les miens. Essayant du mieux que je peux pour comprendre l'allusion, il me prit quelques minutes avant d'enfin voir la réponse : Passion.

Un visage impassible disparaissant pour un visage dur et froid, je le laissais s'approcher de moi, allant même jusqu'à lui donner la possibilité de poser ses mains sur ma joue, la tapotant ainsi. Cherchait-il à me faire perdre la tête de parler d'elle ainsi ? Ou bien voulait-il simplement jouer à ce jeu que nous nous adonnions ensemble ? La deuxième option étant plus probable, j'arquais un sourcil.

Que veux-tu dire ?

Ma question n'avait en soit pas réellement de sens en vue que malgré mon état d'insomniaque précaire, j'avais réussis à comprendre sûrement le sens de celle-ci, en rapport avec ma précédente exclamation le jour de notre premier accrochage. Ainsi donc il était resté bloqué dessus ? Amusant. Ne savait-il pas que la seule fois où nous avions partagé une couche, avait révélé quelque chose inattendue sur ma personne ? Bien sur que non, sinon pourquoi me demanderait-il une chose comme cela.

Alors que sa vision si fausse se faisait entendre, je mordis ma lèvre alors qu'il parlait d'elle de cette manière. N'avait-il aucune once de respect envers elle pour s'exprimer de la sorte ? Mon sang bouillonnait face ma façon de voir les choses. Il l'a caractérisait comme une femme facile, qui se laissait toucher sans une once de dignité et cela ne faisait qu'attisé un énervement jusque là contrôlable. Cherchant la petite bête avec moi, il venait de nouveau d'attisé mon envie de jouer à mon tour avec ses nerfs qui ne devaient pas être aussi bon en vue de sa boisson qui attaquait déjà sa personne.

Rejetant sa main, de façon assez brusque, je lui souriais de manière amusée, chose rare dont il n'allait avoir l'habitude. D'ordinaire impassible, je lui montrais pour la première fois, un aspect de visage tout sauf neutre, accompagné d'une main s'étant poser sur une de ses épaules, la tapotant doucement, comme pour compatir à mon futur pic qu'il avait lui-même chercher.

Qui sait, notre lien dépasse ce que tu appelles l' écartement de cuisse, L. Et comme tu l'avais si bien dit la dernière fois, cela ne te concerne pas.

Malgré cette dernière sentence, je tentais de canalyser la rage qui m'avait assaillit alors qu'il avait démontrer une vision dégradante de cette femme qui m'était cher en tant qu'amie. Priant qu'il ne dépasse pas les bornes, je m'appliquait à ne rien laisser paraître de ce trouble qu'il m'avait procurer.

Des secondes défilèrent, devenant des minutes au fil du temps suite à ma réponse qui n'était en soit loin d'être un mensonge. Je ne savais mentir mais la subtilité concernant mes sentiments ou mes proches étaient bien l'un de mes points forts que j'utilisais avec une facilité déconcertante face à cet homme qui ne ressemblait à rien à celui de mes précédentes rencontres. L'alcool l'attaquait de plus en plus et cela se marquait sur son visage déjà cauchemardesque pour ma personne.

Il avait reculé et semblait m’analyser et comme à mon habitude, je venais de toucher le point sensible de L, lui ,qui venait pourtant de parler d'elle de manière si malsaine, avait changer de faciale en un rien de temps, une fois mes mots parvenus à lui. Ce rictus présent à chacune de nos altercations venaient de disparaître pour le laisser serrer la mâchoire, chose qui n'était pas passé inaperçu à mes yeux qui le scrutait malgré la fatigue qui me gagnait au fur et à mesure que la montre tournait. Sa réaction me rappelait de ma première attaque à son égard, un pic qui l'avait fait changer de la même manière qu'il venait de faire, provoquant un leger rire de ma personne. Si facile de le toucher que cela était pathétique, mais je ne devais m'exprimer ainsi, me sachant réagir de la même manière lorsque le sujet était Passion.

Un visage redevenant neutre lorsqu'un mauvais pressentiment s'était emparé de moi, laissant mon subconscient me mettre en garde de cet homme qui n'était dans son état originel mais cela était trop tard. Un léger sursaut qui était furtif avait été fait par automatisme sous la surprise du lancer de bouteille qu'avait provoqué L, me ratant de très peu. Un léger liquide se faisait sentir coulé de mon front, laissant ainsi une de mes mains aller recueillir la substance qui perlait sur mon visage, laissant une teinture rouge transparaître sur celle-ci. Son rire anormal démontrait à la fois sa joie de me voir en sang ainsi que les dégâts subit par l'alcool était plus sérieux que ce que je l'imaginais.

Une exclamation concernant ma folie me parvenait, me faisant simplement soupirer, ne voyant que mon interlocuteur comme malade, lui laissant le champ libre pour s'approcher de moi assez vite pour ne pas pouvoir répliquer, sachant que le manque de sommeil se faisait dors et déjà ressentir sur mes réflexes si je n'ajoutais le sang qui continuait de s'étendre sur un coté de mon visage. Son faciès en face du mien, je sentais la puanteur de sa boisson titillait mon odorat, ancrant de nouveau mon regard dans le sien, laissant un léger rictus apparaître sur mes lèvres face à sa question si fastidieuse qui s'était directement fait accompagner par une menace des plus inutiles me concernant.

Pourquoi te mettre dans cet état alors qu'elle n'est aucunement tienne aussi ?

Si sa menace était bien réel, la mienne était quant à elle dite avec amusement, car après tout, il n'avait aucune raison d'agir de la sorte avec moi, excepté si bien évidemment il continuait de faire le toutou à son chef de meute qui n'était autre que l'ordure qui servait de petit ami à ma confidente. Cet homme qui la blessait plus que je ne l'avait imaginer, qui méritait beaucoup plus ma haine que L en cet instant présent mais étrangement, pour une raison inconnu, je continuais de retrouver L sur mon chemin, recentrant ma colère sur lui qui d'apparence semblait tenir un minimum à Passion, même si le doute en moi planait.

Il tentait de m'étouffer, affaiblissant ainsi la bouffé d'air que demandait mes poumons, provoquant une respiration saccadé pendant un laps de temps assez court. Ses mots n'avaient aucun sens pour mon esprit mais je ne pouvais répondre dû au manque d'oxygène qu'il appliquait à mon être par sa façon de me tenir contre le mur de cette barrière métallique qui nous entourait. Son dernier avertissement se faisait que trop similaire à ce que je lui avais dit durant cette mâtiné cataclysmique où mon self-contrôle avait déjà lâché par sa simple présence.

Me faisant repousser, je pu enfin prendre tout l'air que je pouvais,je reprenais petit à petit une respiration stable avant de me remémorer ce qu'il venait de me déballer, me faisant rire, d'une façon assez mauvaise en vue que je ne pourrais jamais blessé Passion par rapport à lui et son acolyte. Me rapprochant de lui, je pris le temps de me pencher vers lui à mon tour, les mains dans les poches et lui sourire, lâchant sans même réfléchir avant de laisser ma voix reprendre le dialogue de sourds que nous avions.

Toi qui parlait d'elle comme une putain tout à l'heure, ne penses-tu pas que quelqu'un d'autre est plus à même de la blesser que ma personne ? Une personne proche de toi que tu laisses agir ?

Une de mes mains venaient de quitter la poche de mon jean délavé pour aller faire se poster face à son visage, laissant un de mes doigts faire une pression sur son front, le poussant doucement avant de reprendre mes dires, avant de recevoir sans doute un coup qui allait peut-être me faire perdre le contrôle de moi-même qui tente de résister à l'irrésistible tentation de lui en mettre une.

Et concernant les problèmes L, je t'avais prévenu que je n'allais pas rester spectateur si l'un d'entre vous la blesser et je pense que Dark la déjà que trop fait pour que je restes hors de ça.

Sifflotant après ma remarque, je repris ma place, regardant les dommages collatéraux qu'avait provoqué la bouteille de bière que mon compagnon de galère avait jeté tantôt pour ensuite reporter mon attention sur cette porte métallique qui nous gardait prisonnier. Ils m'étaient du temps, beaucoup trop à mon goût et devait se dépêcher s'ils ne voulaient voir un carnage.

Un nuage de fumée prenait place dans notre prison, ressemblant à une brume qui s'alliait parfaitement avec l'état psychologique qui était mien. Malgré tout, je savais que ma fatigue agissait sur mes paroles et mes actions, me rendant si différent de ce que j'étais habituellement mais cela était identique pour L qui ne devait sans doute pas vraiment se contrôler en vue de la substance qui était que trop présent en lui. Il était devenu la débauche absolu, non pas du contexte originel mais plus du coté ennivrance de substance tel que l'alcool et sûrement bien d'autre chose.

Je ne savais pourquoi j'avais agis de la sorte mais peut-être que l'insomnie me faisait perdre toute raison et toute objectivité sur le déroulement que je pourrais provoquer mais cela n'avait plus aucune raison d'être, ayant déjà envenimé les choses de son coté. Il ne répondait pas, laissant ainsi un blanc apparaître lorsque mes mots venaient de s'encrer en lui, le faisant réagir de façon à dégager ma main pour de nouveau prendre le col de ma veste, sa cigarette toujours coincé entre ses lèvres. Il m'analysait de nouveau, peut-être à la recherche d'une preuve comme quoi mes dires n'étaient réel ou bien juste du buff, mais cela n'était pas le cas, ne sachant mentir. Du sarcasme faisait place dans ses propos, félicitant fictivement ma soit-disante bravoure, chose qui me faisait rire amèrement intérieurement. Ainsi voyait-il les choses de cette façon, si stupide de répliquer de la sorte alors qu'il en faisait de même. Pensait-il vraiment que je n'aurais agit si cette confidente se faisait attaqué de la sorte ou bien lorsque l'on m'accusait pour être un brin subtile dans mes propos ? Il ne me connaissait pas et cela n'en démontrait pas moins qu'il n'était en aucun cas aussi intelligent qu'il prétendait l'être. Il agissait plus par impulsivité et par déni, en tout cas, cela était l'image qui me traversait l'esprit.

Perdu dans mes songes, je n'avais prévu qu'il froisse avec une forte poigne ma veste en jean pour enfin me bloquer violemment contre un des quatre murs qui nous entourait. Il avait les nerf à vif suite à ma confession concernant son très cher ami qui soit-disant frappait cette femme qui nous rendait dans cet état. N'était-il pas au courant de cette maltraitance présente dans son groupe ? Etait-il trop aveugle pour voir les quelques marques que j'avais moi-même entrevu lors de ma journée avec elle ? Cela était possible mais trop gros, ce qui me faisait réellement penser qu'il agissait plus pour protéger Dark d'autre chose. Il me questionnait, m'interrogeait du mieux qu'il pouvait avec hargne, concernant la raison de mes dires.

Passion elle-même est une preuve. Es-tu si aveuglé par ton amitié avec lui pour ne pas voir les marques présente sur cette femme ? Elle n'est certes pas mienne mais elle m'est cher comme amie. Si tu veux tant une preuve, demande à cette « putain » comme tu la décris de te montrer son poignet, si cela n'a pas entre temps disparu ou bien va lui demander.

Je me mordais la lèvre énervé d'avoir à nouveau prononcé ce mot si dégradant pour la caractérisé mais je me devais de descendre à son niveau avant que mon sourcil s'arque face à sa question. Pourquoi serais-je jaloux ? Pensait-il à ce point que j'entretenais des sentiments pour ma confidente ? Etais-ce à ce point si ambiguë qu'il en soit venue à s'imaginer des choses si stupide à mon égard et à celui de Passion ?

La jalousie que tu imagines n'a pas lieu d'être mais libre à toi de penser ce que tu veux.

Alors que je venais de répondre, je me retrouvais avec une douleur au niveau du tibia, me forçant à me retrouver à ses pieds, chose qui me fit pesté contre lui alors qu'il agrippait ma tignasse pour continuer ses dires. Il n'avait pas tord mais le nom de cet homme avait été le seul qu'elle m'avait laisser entendre, peut-être que cet homme en face de moi la blessait aussi. Cette possibilité était plausible en le voyant devenir si impulsif concernant Passion. Mais la douleur qu'il me prodiguait à tirer sur mes cheveux pour m'obliger à rencontrer son faciès dégradant, qui s'amusait à me faire inhalé la fumée qui s'échappait de ses lèvres, je me mordais la lèvre, analysant chaque mouvement qu'il faisait contre moi, faisant accroître l'attaque de plusieurs possibilité contre moi. Allait-il me marquer de sa cigarette ou bien allait-il à nouveau agir comme une brute en me tabassant ? Tant de raison de le faire rendait les choses dangereuses.

Une vive douleur me fit revenir de mes songes, me faisant grimacer par la sensation de brûlure qu'il administrait à ma cuisse avec cette clope allumé qui s'était déposé sur mon muscle. Arrêtant se supplice pour mieux l'aggraver, il m'interdisait quelques chose qui n'était vrai, comme pour appuyer son acte blessant envers ma cuisse. Si cette douleur m'était insupportable je me devais de répliquer, me trouvant dors et déjà assez pathétique pour me faire avoir de la sorte, lui montrant par la même occasion la douleur que je ressentais. Laissant ma tignasse pour se consacrer à son paquet de cigarette vide à priori, je m'étais lever, non sans une grimace face à cette brûlure au niveau de ma cuisse. Le regard sur lui, je n'en attendis pas plus pour lui administrer un coup de poing au niveau de son visage sans qu'il ne puisse répliquer.

Un contrôle sur ma personne n'étant plus possible, la rage à son égard étant beaucoup trop important pour que je puisse agir habituellement. Mon genoux s'était appliqué à attaquer son plexus, comme par automatisme, pour enfin le regarder salement.

Passion n'est en rien une putain comme tu dis, à moins que tu sois celui qui partage sa couche. Tu es tellement pathétique L, tu parles de preuves alors que toi-même tu accuses sans rien savoir. Si puéril que tu me donnes la gerbe et l'envie d'éloigner Passion d'une personne comme toi qui se laisse avoir par l'alcool.

Des mots cru qui dépassait mon self-contrôle inexistant, je laissais ma rage s' acharner sur cette homme, ne pouvait plus supporter ce qui se passait entre nous. J'en avais marre de ne rester que spectateur et me laissait faire ainsi, laissant mon coté obscur de mon caractère apparaître en face de lui. Si j'avais pour habitude d'être pacifiste, je ne pouvais plus l'être maintenant. Je le regardais juste, avant de laisser un de mes pieds lui provoquer plusieurs coup, me vengeant simplement de ces actions précédentes à mon égard. Le bien ou le mal n'avait plus aucune utilité ni même de limite pour ma personne.