How to Stop Boredom Feat Never

Serais-ce possible pour cet âme de connaître un moment de répit, face à l'attaque incessante de diverses pensées, plus chaotique qu'autre chose ? Pouvait-il flemmarder sans y laisser les plumes ? Chaque réponse à ces questions n'était que négative.Cette personne si désespérée et meurtrie ne pouvait être que moi, malchanceux que j'étais. Un peu de sport pourrait sûrement mettre fin à cette torture, qui me poursuivait sans cesse, étant las de tous ses emplacements si monotones, les  connaissant que trop. Je m'étais donc dirigé vers un lieu où je pourrais laisser libre cours à mes envies : La salle de danse.

Une chaîne stéréo mise à disposition, je venais d'enlever ma veste, qui m'avait accompagné le temps que je trouves ce qui allait pouvoir m'aider à extérioriser chaque émotion et sentiment enfouit au fond de moi. Après tout, cette semaine avait été si intense que je ne me voyais supporter plus que je ne le faisais déjà.

Fermant les yeux, j'écoutais le son de cet outil, qui passait tout type de musique en fond, m’apaisant ainsi. La tête vide, je m'étais mis à danser d'une façon dont je ne me soupçonnais pas, n'ayant jamais essayer ce sport. Mon corps se mouvait, au rythme de ce fond qui se propageait dans chaque recoin de cette pièce qui me logeait. Des mouvements souple et précis, je me retrouvais donc à danser, ainsi qu'à faire des figures dont je n'avais aucune connaissance. Avais-je eu cette habilité lors de mon vivant ? Cette question se trouvait sans réponse, et cela ne me dérangeait pas. Pour une fois, depuis mon arrivé, je me retrouvais à apprécier quelques choses qui pouvait venir de cette vie avant la mort, n'étant habituellement pas intéresse par ceci. Plusieurs heures à danser sur différentes musiques, des battement par minutes qui déviaient de chaque musiques, j'avais cette impression de goûter à nouveau à cette liberté qui avait disparu, pour se faire remplacer par des douleurs risibles.

Une dernière chorégraphie et mon corps ne put supporter plus. Je m'étais retrouver allongé au sol, une respiration irrégulière du à ce changement d'habitude que je venais de faire. Je souriais, riais légèrement tant cette sensation était grisante. Pourquoi n'avais-je jamais pensé à usé de cet méthode pour me soulagé ? La flemmardise de changer mes automatismes ? Nul réplique vint en mon esprit calme à présent. D'un dernier courage, je m'étais relevé, remettant mes cheveux en arrière pour avoir une meilleure vue, avant de me regarder dans la glace. Des perles de sueurs étaient apparues sur mon corps, prouvant un excès de chaleur du à cette activité qui demandait de l'énergie, m'indiquant qu'une douche était devenue inévitable.

Prenant ma veste, tantôt poser par terre, je me dirigeais en direction de ma chambre, ignorant chaque regard dont j'étais la victime, ne voulant comprendre pourquoi par insignifiance de ce geste. Ces regards qui ne cessèrent que lorsque le seuil de mon espace de sécurité avait été atteint. Prenant les affaires adéquates, je sortis de cet endroit qui ne m'avait vu qu'un laps de temps court, je m'étais dirigé vers cette salle de bain dont nous seul, membre de ce dortoir, avions la possibilité de l'utilisé.

Espérant qu'il n'y ait du monde, j'en venais à pénétrer dans cet habitable intime qui s'était trouvé vide de toute présence. Un soupir de soulagement assez inaudible s'était échappé de mes lèvres, mais bien sur, l'éternité ne pouvait être aussi indulgent envers moi. Alors que je venais d'enlever mon débardeur, laissant ainsi entrevoir mon torse, je ne pouvais tombé que sur un inconnu qui avait décidé, lui aussi, de faire sa « toilette ». Cet inconnu qui ne savait lire l'atmosphère qui se propageait autour de nos deux personnes, m'avait sourit, chose étrange, avant de se présenter à moi. Un regard septique en sa personne, suivit d'un effort, je lui avais répondu de mon air neutre habituel.

Never.

Simple et efficace. Allait-il me laisser en paix, maintenant que je m'étais présenté ? Je l'espérais du plus profond de mon être et pour en être sur, je m'étais dépêcher de rentrer dans l'une des cabines, ne voulant montrer plus à ce Proud de ce que j'avais déjà montrer. L'éternité devrait vraiment trouver une autre victime.

Cet espace qui était maintenant mien me permettait de me perdre de nouveau dans ce monde où habitait mes pensées, chaotique comme relaxante. Attendant l'eau chaude arrivé je m'étais retrouver à me poser des questions sur cet homme qui m'avait accosté tantôt. Je ne l'avais jamais vu et espérait ne plus le voir, ressentant une étrange atmosphère vis à vis de lui qui m'insupportais déjà. Il avait cet air dominateur qui m'ennuyais en plus de cette sensation désagréable, je sentais que cette personne allait m'apporter que problème et fatigue. Quelques gouttes me firent reprendre contenance de l'endroit où j'étais.

Des gouttes d'eau chaude m'attaquait légèrement du à la fréquence que j'avais mis à ce pommeau de douche qui trônait dans ce lui individuel. Un soupire d'aise outrepassant mes lèvres venaient associé à ce bruit assourdissant que l'eau produisait à toucher le sol qui se trouvait sous mes pieds. Sans perdre un instant je m'étais retrouvé dessous, laissant mon corps se détendre face dans l'instant présent. Des muscles qui se sentait soulagé à cette sensation, je pris quelques temps avant d'entreprendre de me laver, prenant en main le savon que j'avais en ma possession, retirant ainsi les quelques traces de sueur qui avait pris place sur mon corps. Une fois ceci fais, je laissait mon être se baigner dans ce torrent d'eau qui envahissait cet espace, lavant par la même occasion mes cheveux qui en avait grandement besoin vu l'effort d'avant.

Après quelques minutes, à m’enivrer de cette sensation grisante, je me retrouve à éteindre le courant que j'avais laisser coulé un peu plus pour profité encore un peu de ce sentiment de bien être qui m'avait gagné à l'entrée de cette cabine. Prenant par la suite ma serviette, je me séchais pour ensuite m'habiller un peu plus à l'écart, remarquant que ce lieu était assez grand pour le faire sans se mouillé. Mettant un jogging noir ainsi qu'un débardeur blanc, je sortis de cet endroit qui m'avais hébergé pour me positionné devant le miroir, regardant mes cheveux, essayant par la suite de les coiffé avec les moyens du bords : mes mains.

Concentré à dompté mes cheveux, je n'avais aucunement fait attention au dénommé Proud qui venait lui-même de sortir de sa cabine jusqu'à ce qu'il émettes de nouveau un son pour obtenir une nouvelle discussion mais aussi mon attention. Un soupir las transparaissant en même temps que mes yeux se fermèrent, comprenant que je ne pourrais être tranquille uniquement lorsque j'aurais atteins ma chambre. Regard tournant vers lui, j'arquais les sourcil face à Proud. Ne peut-il donc pas trouver une autre victime pour parler ?

Je m'approche de lui avant de m'arrêter à coté de lui. Malgré la différence de taille, je le toise furtivement du regard.

Je n'en sais rien. Et cela ne m’intéresse pas vraiment.

Ma phrase avait été cru et neutre, comme à son habitude et cela il allait devoir faire avec. Je n'avais aucune envie en ce jour de faire un quelconque effort surtout avec un inconnu qui ne m'inspirait aucunement de la confiance. Sous ces mots, je m'étais disposé à partir, le laissant ainsi seul. J'espère qu'il a compris que je n'ai pas envie de parler.

Il était vrai que je n'étais pas aussi viril que certain et cela me causait pas mal d'ennui mais cela ne me dérangeait aucunement, étant loin de m’intéresser à l'opinion du monde qui m'entourait. Seul face à cet éternité ou la diversité était bien présente, aussi bien en genre, en style ou en mouvement de pensée, chose assez intéressante comme absurde. Cet homme qui se trouvait face à moi me faisait doucement rire. Cherchant un point de repère ou ne serait-ce qu'un ami, il était tombé sur la seule personne qui préférait la solitude que l'amitié.

Alors que je m'étais disposé de sa présence, il se trouve que Proud n'avait aucune envie de me laisser partir, me forçant donc à supporter sa personne, bloquant la seule sortie possible de cette salle de bain. Il est chiant.Sa phrase n'avait de sens pour moi, ne comprenant la raison de cet agissement puéril à mon égard. Ne voyant l'image que je diffusais, mon cerveau avait eu du mal à faire le rapprochement rapidement, laissant mon subconscient me frapper psychologiquement avec la réponse.

Je n'ai juste aucune envie de parler. Encore moins dans cet endroit.  

Il me désespérait mais je me devais de tenir bon, ne voulant brisé mon self contrôle de nouveau en état de marche. Un sentiment de pitié était né en face, caractérisant cet homme qui bloquait ma fuite de façon à ce que je sois positionné entre cette porte et son corps bien imposant. Mes yeux le détaillèrent alors qu'il agissait de ses mains, posant l'une d'elle sur mon cou, chose qui me fit frissonné, étant sensible du cou. Menton levé face à lui, son souffle au niveau de mon oreille, je pouvais ressentir un dysfonctionnement au niveau de ma chaleur corporel qui avait augmenté de quelques degrés. Il venait de me faire entrevoir des faiblesses dont j'ignorais l’existence, comprenant le potentiel problème que j'allais rencontrer si l'on touchait de trop près mes oreilles ou bien mon cou. Cet homme est dangereux, aussi bien pour mon self-contrôle que pour mon mental.

Argumentant la raison qu'il avait de m’emprisonnai avec lui était si drôle qu'un rire, chose rare, venait de titiller l'espace qui nous entourant. Son bon sens était-il existant ? Ou bien était-il désespérer ? Peut importe ce que je pensait, je n'avais que cet adjectif qui pouvait le décrire, ou du moins, le seul mot que mon cerveau arrivait à trouver. Je n'avais aucune force pour le repousser ou encore rentrer dans son jeu, ne voyant ce que je gagnerais au change. Ma liberté ? Allait-il seulement me laisser après ? Inutile.. Autant que je l'ignore.

Je ne savais qu'ignorer dans ce lieu sans repère temporel alors pourquoi devrais-je changer ? Cela serait grotesque et si immature de ma part. Je n'avais pas envie de changer la personnalité que j'avais créer dans cet espace.

Pourquoi veux-tu tellement me garder en ta compagnie ?

Certaines personnes pouvait me considérer tel un automate en raison de mon indifférence ainsi que mon ignorance face aux chose naturel que devrait pouvoir ressentir chaque personne ici présente. Les émotions ainsi que les sentiments n'étaient que choses éphémères et illogique pour ma part. Je n'avais ressentis jusque là que très peu de sensations incompréhensible pour mon être mais qui prenait du sens grâce à cette attache qui m'aidait à comprendre : Passion.

Si tu cherche un quelqu'un changement comportemental ou psychologique de ma part, tu peux toujours essayer.  

Sous ces mots, je venais de réussir à le repoussé malgré sa carrure bien plus imposante que moi, et me dirigeait vers ma chambre d'un pas las, passant de nouveau une main dans mes cheveux en soupirant. Il est vraiment étrange. J'espère ne plus tomber sur lui Pensée qui fut interrompant par cet être que je venais de quitter. Il parlait mais je n'avais plus une once envie de cacher mon coté insolent. Un signe de la main suivit d'un sourire narquois, je l'avais laisser là, en plan dans le couloir.