when the dick take the brain place Feat L

Je le regardais assis sur le dossier de la chaise, le sourcil levé fasse à tant de persévérance. D’un coup il s’appuya sur la table ayant atteint sa limite. « J’en veux plus ! » Il se frottait les yeux comme si un voile venait de se former et qu’il s’obstinait à vouloir enlever.  « Dégage, je rentre. Et tu peux les mettre là où je le pense le reste des shoots. » Je ne pouvais que rire face à la tournure des événements. Prenant un verre, j’en avais vidé le contenu tout en observant L tituber dans le couloir. « Bon aller ! » Je n’allais quand même pas le laisser projeter les résidents de part et d’autre, tout ça parce que Monsieur ne pouvait plus marcher droit. M’enfilant le reste des shooters, je me surprenais à ressentir le moindre bruit amplifié au centuple et mes hormones s’emballer. Les battements de mon cœur qui résonnaient dans ma tête, ne s’essaient de s’accélérer affaiblissant mon self-contrôle. L’alcool avait un effet plutôt agréable sur ma personne comme incontrôlable. Ma langue caressait ma lèvre inférieure et je le voyais désormais comme un potentiel "coup d’un soir".

Soudain, un fracas se fit entendre et L s’effondra sur le sol. Surpris, je me redressais en un sursaut pour lui venir en aide, mais c’était sans compter sur les effets secondaires de mes actes, me donnant un arrière gout de la température glacé du sol. « Haaaaa…. La douleur…. » Nous étions deux belle larves qui titubait sur le sol et peinait à se lever. Un tableau des plus charmant, si je puis dire. C’était en un rire que je me relevais, faisant craquer mon cou. Lui aussi avait fait de même, essayant de puiser dans ses dernières force pour atteindre son but. Je marchais d’un pas lent, n’ayant pas besoin de plus pour le rattraper. Marquant un temps d’arrêt pour me frotter les yeux de ma main droite, le désespoirs pouvait se lire en moi. Je m’en étais douté mais je ne pensais pas qu’il allait retomber si vite. Accélérant ma course, je le rattrapais à la volé positionnant son bras derrière mon cou tout en soutenant le poids de son corps. Un soupir s’échappa malgré moi et je lui dit.

Je me suis éclaté, je dois te l’avouer mais il est grand temps que tu ailles dormir.

Le redressant pour commencer notre périple, je lui demandais avec un sourire invisible.

Ta chambre elle est ou ?

Je peinais à avancer, nous étions tout deux dans un état second. Je cherchais la chambre 5 sans trop savoir sa localisation, me perdant dans ses longs couloirs. J’avais beau faire le fier, mon corps ne voulais qu’une seule chose en ce moment même et être en présence de L n’allais pas aider. Je laissais échapper un soupir de soulagement quand la porte tant convoité m'apparu. J’y rentrais sans trop de mal déposant l’alcoolisé sur son lit.

Libéré ! J’étirais mon dos et mes membres avant d’aller fermer la porte à clef. Pourquoi cette action ? Parce que, malgré moi, à cet instant précis, je n’avais qu’une idée en tête. Je tournais la tête en sa direction pour mieux admirer ce tableau. Abusé d’un homme sans défense n’est pas conseillé mais sous l’effet de cette drogue, selon moi,  j’avais tout les droits.

Il était là allongé sur le lit, haletant, les joues rougies par l'alcool, les yeux brillant. Sa main c'était posé sur son front et une goutte de sueur perlait sur le flanc de son cou. Mon corps bouillait je n'en pouvais plus, le voir dans cet état me fis frissonné d'envie. J'avais chaud et ma vision commençait à ce troublé. Je m'assis sur le rebord du lit reposant la partie supérieur de mon dos sur mes bras, laissant ma tête retomber en arrière.  J'essayais tant bien que mal de reprendre mes esprits, mais c'était sans compter sur cette bosse qui venait de ce formé malgré moi. L'alcool avais un effet destructeur sur mes sens, je ne répondais plus de rien, je n'avais qu'une envie, ne faire qu'un avec cet être gisant à mes côté.

Je défaisais un à un les boutons de ma chemise. Mes mouvements n'étaient pas voulus, j'avais abandonné l'idée de contenir ce désir ardent et je laissais donc mes instincts mener la dance. Retirant ma chemise, je pris une grande respiration avant de me lever en déboutonnant mon pantalon. Me positionnant à coter de lui, je fis basculer ma jambe pour la positionner entre les siennes frôlant son entre jambe par inadvertance. Ma main droite emprisonna ces deux poignets pour les contenir au dessus de ça tête, tandis que l'autre s'attela à enlever ce tissu qui était de trop. Mes lèvres caressaient son cou tout en laissant de doux baiser. Une fois le vêtement ouvert, mes doigts caressaient chaque parcelle de son torse, commençant du nombril jusqu’à ses boutons de chaire qui m’étaient désormais dévoilé. Je rapprochais ma tête de la sienne, frôlant son nez au miens, accordant le même rythme à nos respiration toute en les mélangeant.

J'avais plongé mon regard dans le siens, comme si je cherchais un signe d'approbation. Ma conscience avait-elle une dernière fois tenté de me résonner ?